« Afin de rejoindre l'Île Ogygie en partant de la pointe nord-ouest de l'Île de la Tortue, on prend un angle de 25° en direction du nord-ouest et ce, durant environ 1028 miles. Nous devrions longer de très près certaines terres moussaillons, faites attention ! Après cela, prenaient un angle de 33° sud-ouest pendant 369 miles. Nous passerons entre les deux Îles Alpha et Omega. Après cela, il faudra prendre un angle de 66°, toujours en direction du sud-ouest pendant 103 miles. À ce moment là, nous serons proche de la Mer des Abysses, mais ne prenons pas le risque de passer par celle-ci. Les vents y sont turbulents. Après ça, pour vous faciliter la tâche, j'ai choisi de prendre un angle de 0° ne direction de l'ouest sur un trajet de 686 miles, normalement aucune terre en vue, mer calme à ces endroits là , puis de 90° vers le nord en ligne droite, après 171 milles nous devrions pouvoir aborder Ogygie, et découvrir la perfection de celle-ci !»

"Merci mon Capitaine, c'est comme si c'était fait !"
S'attelant à la tache, le second réfléchissait a voix haute :
"Alors ...bien loin des Menehunes ...Morbleu mais bien sur ! L’île d'Ogygie ! Après tout, dans l'antique mythologie grecque, c'est la que vit Calypso, et qui de mieux que Homère pour avoir narré si belle histoire ?"
Désormais convaincu du bon cap a prendre, le second pris la barre et fit cap vers l’île isolée. La laissant à tribord, il continua jusqu'au détroit séparant le désert d'imagiki des Menehunes et l'emprunta. "A bâbord, toutes !" Longeant désormais les cotes de l’île des Marakas, il s'exclama : "Parsembleu ! Nous approchons de la dangereuse mer des Abysses !" Afin d'éviter ce danger potentiel, il le contourna en le laissant à bâbord, ainsi longeant les cotes d'Erghyr. Les falaises de Pinkouli faisant désormais face a la figure de proue, il tourna donc à tribord. L’île de Cama lui était visible de sa lorgnette, mais la vigie installée dans le nid de pie le savait bien : ils étaient sur le point d'arriver ! Contournant l’île de Cama en la laissant à bâbord, c'est l’Île d'Ogygie qui apparut , sortant progressivement de l'horizon. Le second, fier de son voyage, s'exclama alors : "mes amis, nous sommes arrivés !"

Le premier pavillon : Orchidia

Capitaine : Kinder
Second : Kasino
Naviguateur : Vangelis
Mercenaire : Ténébris
Vigie : Anetha

Le second pavillon : Eysleimos (cité des hors-la-loi, non gouvernée)

Capitaine : Mongo le grand
Second : Folh-kor
Navigateur : Menthos
Mercenaire : Pikimi
Vigie : Izilda (Maîtresse de Caroya T3 Origine)

Trésor n°1 : Trésor mythique à partir du XIII° siècle, symbolisé en une coupe sacrée. Ce trésor puise son origine des légendes arthuriennes autour de la Bretagne et demeure un élément essentiel au cœur de ces textes écrits.


Trésor n°2 : Ce trésor-ci fut retrouvé à l'intérieur du tombeau d'un grand personnage historique. Il s'agit de l'un des plus somptueux trésor de l'Antiquité, symbole d'une civilation florissante. Composé de plus de deux tonnes d'or et près de 4000 objets en tout genre, il s'agit de la plus fantastique découverte faite en terre d'Egypte.

Trésor n°3 : Trésor immergé, il est fait des innombrables objets précieux et faits d'or que son peuple lançait dans un lac en hommage à leur chef, qu'ils recouvraient de poussière d'or afin qu'il resplendisse comme le fils du soleil. De ce trésor est né un célèbre mythe qui a encouragé de nombreux chercheurs d'or vers le XV° et XVI° siècle.

Trésor n°4 : Ce trésor architectural est en réalité un temple de plusieurs étages, recouvert de plaques et de feuilles d'or, visible encore de nos jours. Sa première construction date du XVII° siècle, mais il fut détruit lors d'un massacre millitaire au XX° siècle. Aujourd'hui reconstruit, il trône au bord d'un bassin sacré au cœur de la ville.

Trésor n°1 : Le Saint Graal !

Trésor n°2 : Le trésor de la tombe de Toutankhamon.

Trésor n°3 : Le lac sacré de Guatavita (domaine des indiens Chichbas)

Trésor n°4 : Le temple de Harmandir Sahib en Inde.

1 : On le dit frère jumeau.
2 : Le plus puissant d'entre tous.
3 : Personne malhonnête sillonnant Lovinah.
4 : Des mers du sud.
5 : Anciennement adulte. Mutilé à en perdre la raison.
6 : La plus puissante de la lignée.
7 : Sa chute causa sa fin.
8 : Ombre.
9 : Initiales de l'une parmi les trois.
10 : A l'envers. L'origine de la source.

L'officier de quart de l'Unicorn s'en va voir le Capitaine qui s'apprête à emprunter une rivière près de Sabledoray, dès la fin de son quart. Le Capitaine le reçoit, se dernier se découvre et lui dit d'une voix inquiète :

Capitaine ! N'empruntez pas cette rivière ! Je viens de rêver qu'une flotte de Sabledoray nous y attendait, et coulait l'Unicorn !

Le Capitaine réfléchit, puis décide de renoncer à son entreprise d'emprunter ladite rivière. Effectivement, il apprendra plus tard qu'une flotte commandée par le roi Halan en personne se trouvait effectivement à l'emboucure de la rivière, et fort bien armée, et que ces bâtiments avaient pour ordre d'arrêter le navire pirate. Pour remercier l'officier de sa clairvoyance, le Capitaine lui offre une grande somme d'argent, mais l'abandonne sur une île déserte.

Pourquoi l'a-t-il abandonné sur une île déserte ?

Le Capitaine Olbatar se retrouve, en compagnie de la maîtresse Bosco, sur une île déserte. Là, ils font la rencontre d'une tribu se divisant en deux catégories : 

- Les Menteurs, qui mentent toujours. 
- Les Changeants, qui mentent dans une partie de leur déclaration, et disent la vérité dans l'autre. 

Menteurs ou Changeant, ils raisonnent en termes de logique. 

Alors le Capitaine leur pose la question suivante : Ont-ils un trésor ? 

Les deux membres de la tribu lui répondent : 

A : " Si B ment, nous n'avons pas de trésor ! " 
B : " Un seul de nous deux a menti ! " 

Alors selon vous, ces membres de la tribu Vatanlouin ont-ils menti ? 

C'est une chose que le Capitaine Olbatar et son équipage n'ont hélas, rarement l'occasion d'utiliser lorsqu'ils sont en mer à bord de l'Unicorn. Cette chose très utile mesure en général dans les 15 centimètres. Les deux sexes prennent du plaisir à l'utiliser. En temps normal, elle est inerte quelque part, attendant l'action. On trouve à l'une de ses extrémités un buisson de poils. 
Lorsqu'on l'utilise, c'est en l'introduisant promptement, et souvent vigoureusement. Mais il y a les adeptes d'une utilisation rapide, comme ceux d'une utilisation lente. Tout dépend du tempérament et de la condition physique. 
Cependant, la méthode est toujours la même : des va-et-vient répétés dans une cavité chaude et humide et qui créent une très forte excitation de la zone concernée. 
Si l'on prête l'oreille, lorsque cette chose est en pleine action, on reconnaîtra aisément un bruit régulier résultant des frottements répétés dans la cavité lubrifiée. 
Lorsqu'elle a finalement terminé son office, elle laisse dans la cavité humide une substance blanche, moussante, collante et un peu sucrée. On retrouvera aussi cette sécrétion sur elle-même et dans ses poils. Il faudra la nettoyer pour qu'elle soit à nouveau propre en attendant son prochain emploi.
Une fois de retour à l'état de repos, elle attend sagement sa prochaine utilisation. On pourrait l'utiliser deux à trois fois par jour, mais c'est un rythme d'utilisation que peu de personnes sont capables de soutenir.

Quelle est cette chose ?

Le second de l'Unicorn sort de sa cabine, et s'engage jusque sur le Gaillard d'avant, une lanterne entièrement éteinte à bout de bras. Aucun fanal n'est allumé sur le vaisseau, il n'y a aucune lumière près du gaillard ou accrochée sur la porte de la coupée, et il n'y a pas de lune dans le ciel. Un marin très brun et habillé tout de noir traverse alors le Gaillard d'avant. Cependant le Second de l'Unicorn le voit, et s'écarte afin de le laisser passer à côté de lui.

Comment a-t-il pu le voir?

L'officier de quart de l'Unicorn s'en va voir le Capitaine qui s'apprête à emprunter une rivière près de Sabledoray, dès la fin de son quart. Le Capitaine le reçoit, se dernier se découvre et lui dit d'une voix inquiète :

Capitaine ! N'empruntez pas cette rivière ! Je viens de rêver qu'une flotte de Sabledoray nous y attendait, et coulait l'Unicorn !

Le Capitaine réfléchit, puis décide de renoncer à son entreprise d'emprunter ladite rivière. Effectivement, il apprendra plus tard qu'une flotte commandée par le roi Halan en personne se trouvait effectivement à l'emboucure de la rivière, et fort bien armée, et que ces bâtiments avaient pour ordre d'arrêter le navire pirate. Pour remercier l'officier de sa clairvoyance, le Capitaine lui offre une grande somme d'argent, mais l'abandonne sur une île déserte.

Pourquoi l'a-t-il abandonné sur une île déserte ?

Réponse : L'officier de quart n'est pas censé dormir durant son quart

Le Capitaine Olbatar se retrouve, en compagnie de la maîtresse Bosco, sur une île déserte. Là, ils font la rencontre d'une tribu se divisant en deux catégories : 

- Les Menteurs, qui mentent toujours. 
- Les Changeants, qui mentent dans une partie de leur déclaration, et disent la vérité dans l'autre. 

Menteurs ou Changeant, ils raisonnent en termes de logique. 

Alors le Capitaine leur pose la question suivante : Ont-ils un trésor ? 

Les deux membres de la tribu lui répondent : 

A : " Si B ment, nous n'avons pas de trésor ! " 
B : " Un seul de nous deux a menti ! " 

Alors selon vous, ces membres de la tribu Vatanlouin ont-ils menti ? 


Réponse : Oui
Explications : Si la seconde affirmation était fausse, A aurait menti. La première affirmation serait fausse, ce qui impliquerait que la première partie de cette affirmation serait vraie. B aurait menti, ce qui en contradiction avec l'hypothèse de départ. 

La seconde affirmation est donc fausse. A et B ont menti. Ils ont bien un trésor.

C'est une chose que le Capitaine Olbatar et son équipage n'ont hélas, rarement l'occasion d'utiliser lorsqu'ils sont en mer à bord de l'Unicorn. Cette chose très utile mesure en général dans les 15 centimètres. Les deux sexes prennent du plaisir à l'utiliser. En temps normal, elle est inerte quelque part, attendant l'action. On trouve à l'une de ses extrémités un buisson de poils. 
Lorsqu'on l'utilise, c'est en l'introduisant promptement, et souvent vigoureusement. Mais il y a les adeptes d'une utilisation rapide, comme ceux d'une utilisation lente. Tout dépend du tempérament et de la condition physique. 
Cependant, la méthode est toujours la même : des va-et-vient répétés dans une cavité chaude et humide et qui créent une très forte excitation de la zone concernée. 
Si l'on prête l'oreille, lorsque cette chose est en pleine action, on reconnaîtra aisément un bruit régulier résultant des frottements répétés dans la cavité lubrifiée. 
Lorsqu'elle a finalement terminé son office, elle laisse dans la cavité humide une substance blanche, moussante, collante et un peu sucrée. On retrouvera aussi cette sécrétion sur elle-même et dans ses poils. Il faudra la nettoyer pour qu'elle soit à nouveau propre en attendant son prochain emploi.
Une fois de retour à l'état de repos, elle attend sagement sa prochaine utilisation. On pourrait l'utiliser deux à trois fois par jour, mais c'est un rythme d'utilisation que peu de personnes sont capables de soutenir.

Quelle est cette chose ?

Reponse : Une brosse à dent

Le second de l'Unicorn sort de sa cabine, et s'engage jusque sur le Gaillard d'avant, une lanterne entièrement éteinte à bout de bras. Aucun fanal n'est allumé sur le vaisseau, il n'y a aucune lumière près du gaillard ou accrochée sur la porte de la coupée, et il n'y a pas de lune dans le ciel. Un marin très brun et habillé tout de noir traverse alors le Gaillard d'avant. Cependant le Second de l'Unicorn le voit, et s'écarte afin de le laisser passer à côté de lui.

Comment a-t-il pu le voir?


Réponse : On est en plein jour.